Partie le 13 avec le Blue Horizon, nous sommes arrivé au port de Piraeus le 14 aux petites heures du matin. Je me suis dirigé vers l’auberge de jeunesse en vélo et JF en taxi. Il est arrivé à peine une dizaine de minutes avant moi et heureusement, l’auberge avait des chambres qu’ils ont pu nous donner immédiatement ! Donc vers midi, nous avions rangés nos bagages et étions prêt pour notre dernière journée de vacances.

On s’est payé une traite dans un des restaurants les plus exceptionnels d’Athènes à son point le plus élevé, le Orizontes Lycabettus. JF à pris un carré d’agneau alors moi je me suis régalé d’un risotto aux champignons et truffe, le tout accompagné d’un bon vin local de la région de macédoine construit avec du cabernet sauvignon, merlot et sangiovese (CHATEAU N.LAZARIDI DRAMA REGIONAL). JF a fini avec un superbe baklava avec de la crème glacée kaimaki. Après ça, on a lentement refait notre chemin vers l’auberge pour notre dernière nuit en Grèce. J’ai démonté mon vélo pour le ranger dans la boîte de carton que l’auberge avait garder pour moi et était prêt pour le départ le lendemain matin.

Au réveil, j’ai constaté qu’il n’y avait pas d’électricité. Heureusement, j’avais acquis des données en itinérance ce qui m’a permit de voir que notre vol était en retard de près d’une heure ce qui nous a donné du temps pour prendre un bon petit déjeuner. On a du héler une douzaine de taxi avant qu’un décide de s’arrêter et de négocier une prime pour le transport de mon vélo mais on est finalement partie à temps. Un peu de panique ensuite à l’aéroport quand JF s’est rendu compte qu’il devait remplir le fameux formulaire ArriveCan ce qui était compliqué du fait que pour une raison inconnue, son compte de courriel vidéotron était bloqué. On a finalement réussi à remplir le formulaire en se servant d’une de mes adresses de courriels à une heure et demie avant l’heure de départ prévue. La cerise sur le sunday a été la file d’attente pour les douanes qui était ‘anormalement’ longue. Puis, j’ai quand du attendre une autre demie que les bagages soient livrés ! Vive les dimanche soir à l’aéroport.


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